Sens et Vie | ||||||
ACCUEIL | QUI SUIS JE ? | HORAIRES / TARIFS | CONTACTEZ MOI ! | |||
Danielle Kormann |
> HARMONISATION DU LIEU DE VIE - GÉOBIOLOGIE | |
HARMONISATION DU LIEU DE VIE / GEOBIOLOGIE La géobiologie est l'étude de l'ensemble des influences de l'environnement sur les êtres vivants. Le radiesthésiste détecte différents phénomènes naturels ou artificiels perturbant la vie dans l’habitation et recherche les ondes nocives dans l’habitat. Le but est de réduire ou d’annuler les perturbations pour rendre le lieu de vie agréable. Pourquoi faire analyser sa maison ? Notre maison est l’endroit dans lequel nous passons le plus de temps pour nous ressourcer, pour dormir. Le corps a donc besoin de recharger ses batteries dans un endroit sain. C’est le docteur Hartmann né en 1915, initié par un sourcier, qui est à l’origine de cette pratique. Confronté à des patients plus ou moins résistants à différents traitements, il décide d’analyser l’emplacement de leur lit. Le simple fait de le placer dans une zone non perturbée, entraine de façon significative des améliorations, voire des guérisons spontanées. Placer le lit au bon endroit a une incidence sur la qualité du sommeil et sur la santé physique et mentale du dormeur. Des thérapeutiques jusque là sans succès, commencent à être efficaces dès que le patient ne séjourne plus sur des ondes nocives. ● Les maisons de familles Lorsque nous achetons une maison, nous changeons en général la décoration des anciens propriétaires…partie visible des précédents occupants. Il peut subsister également une autre forme de rémanence : l’imprégnation de la structure énergétique de la maison ou « mémoires des murs », L’imprégnation des ancêtres et du vécu peut être si puissante que nous pouvons avoir l’impression de ne pas être vraiment chez nous… Conseil bien-être De la même manière que nous nettoyons une maison avant de l’investir, il faudrait penser à la nettoyer de son vécu, qu’il soit positif ou négatif, afin de pouvoir nous l’approprier rapidement et de l’imprégner de notre propre énergie. Par la même occasion, nous pourrons vérifier l’état électro-magnétique et autres nocivités de l’habitat. Troubles et symptômes constatés sur une zone perturbée - Difficulté à s’endormir - Sommeil agité * - Réticences à aller se coucher * - Cauchemars, cris, pleurs, énurésies * - Changer de place dans le lit * - Tomber du lit ou dormir en chien de fusil - Fuir le lit * - Somnambulisme * - Grelotter ou transpirer dans le lit - Bruxisme, crampes, engourdissements, fourmillements - Impatience dans les membres - Palpitations cardiaques - Fatigue ou épuisement au réveil - Manque d’appétit au lever ou nausées - Mauvaise humeur au réveil, irritabilité - Tension interne, vertiges, malaises au lever - Envie de pleurer au réveil - Tendance dépressive - Dormir mieux ailleurs que chez soi… * plus fréquent chez les enfants C’est en 1952 que le docteur Hartmann définit le ’’réseau Hartmann’’, sorte de maillage mesurable sur la terre, dont les rayonnements ne sont nuisibles que dans certaines conditions. Il nommera ’’point cancer’’ des endroits bien délimités où l’on trouve une superposition de plusieurs perturbations avec un croisement de réseau. D’autres facteurs peuvent influencer un lieu : des ondes résultantes de champs électromagnétiques, électriques, des fluides souterrains, des réseaux métalliques, des failles géologiques, des strates minérales. Ces phénomènes invisibles dont se préoccupent les géobiologues impactent-ils vraiment notre santé ? Notre mode de vie actuel et notre environnement génèrent de plus en plus d’interférences négatives qui perturbent le bon fonctionnement de la connexion énergétique entre l’Homme et la Nature (sédentarisation, alimentation inappropriée, stress, émotions négatives, chocs psychologiques, rayonnements électromagnétiques, etc…) Notre corps énergétique joue véritablement le rôle de protecteur du corps physique. De ce fait, tout affaiblissement de ce corps énergétique entraîne, à une certaine échéance, une vulnérabilité du corps physique : la fatigue s’installe durablement et la maladie peut prendre le dessus. Pour en savoir plus… ● La plupart des études sur la géobiologie ont été réalisées par des médecins ouverts sur l’invisible. A la fin du 19ème siècle, le Dr Alfred J. Haviland, présente devant la Société de Médecine de Londres, sa « médecine géographique ». Il affirme que la maladie peut être en relation avec le lieu de vie ou de travail d’une personne, en particulier avec la teneur du sol en certains minéraux ou la présence de veines d’eau souterraines. En France, le Pr Arsène d’Arsonval, médecin, biologiste et physicien, membre de l’Académie de médecine et de l’Académie des sciences, présente, en 1927, les résultats de ses recherches : un nombre important de cancers semble apparaître chez des personnes habitant des maisons bâties sur une faille géologique. La même année, Georges Lakhovsky, ingénieur russe vivant entre la France et les Etats-Unis, publie ses travaux dans un ouvrage intitulé Contribution à l'étiologie du cancer, qu’il présente devant l'Académie des sciences de Paris. A partir de données démographiques, d'études géologiques, et de statistiques sur la répartition des cancers, il établit des cartes de France et de la ville de Paris, mettant en évidence un lien entre la nature géologique du sol et les zones à cancers. De 1932 à 1939, l’ingénieur Lienert et le docteur Jenny effectuent, eux aussi, de très nombreuses expériences géobiologiques en Suisse, sur des souris de laboratoire qu’ils ont installées dans des caisses en bois longues de trois mètres, posées à cheval entre une zone neutre et une zone perturbée par la présence d’une veine d’eau souterraine. Systématiquement, les souris faisaient leur nid en zone neutre. Et chaque fois que l’on tournait les cages de 180 degrés, les souris se déplaçaient avec leurs petits en zone neutre. Chaque fois que l’on a forcé les souris à rester en zone perturbée, elles sont tombées rapidement malades, ont perdu du poids, et présenté, après quelques mois, des tumeurs en grand nombre. A l’inverse, les souris, libres de choisir leur place, demeuraient, quant à elles, en bonne santé. Sur les 24000 souris étudiées durant cette période, il fut établi que celles qui étaient placées en zone neutre paraissaient calmes et avaient trois fois plus de petits que celles placées en zone géopathogène, lesquelles étaient irritées, rongeaient les treillis de leurs cages, mutilaient leurs petits, et avaient 30 % de tumeurs en plus que les souris témoins. Des recherches sur le lien santé-habitat Ce sont surtout les études faites au Forschungskreis, un centre de recherches créé par le Dr Ernst Hartmann, père de la géobiologie moderne, qui ont approfondi le sujet. Dès le début de sa carrière, Hartmann remarque un taux de mortalité plus élevé chez les patients installés dans certains lits - schéma qu’il retrouve à l’identique sur plusieurs étages. Il en arrive à penser que des phénomènes telluriques invisibles, émanant du sous-sol, pourraient en être la cause. ... Le concept de "réseau cosmo-tellurique" Hartmann et Curry. Ces deux réseaux sont présents sur toute la planète (il en existe d’autres). A l'image des champs magnétiques ils peuvent être perturbés par des failles, des réseaux d'eau souterrains, etc. Ils représentent un quadrillage tellurique que l'on peut identifier par l'usage des baguettes. Le réseau Hartmann : Découvert par le "docteur" Ernst Hartmann dans les années 1950. ![]() Constitué de bandes orientées nord-sud (magnétique) et est-ouest, ce maillage tellurique (prend ses racines dans le sous-sol) est tridimensionnel. Il se présente comme des "murs" invisibles d'environ vingt cm de large. Il travers les habitations, les dalles des constructions, on le retrouve aux derniers étages des plus hauts immeubles. Sa maille est d’environ 2 X 2,50 mètres. Le réseau Curry : Découvert par le "docteur" Manfred Curry en 1952. ![]() Ce quadrillage est formé de bandes de quarante centimètres de large, orientées en diagonale (45°) du réseau Hartmann. Sa maille est d’environ 6,5 mètres. Les nœuds d'énergie : Lorsqu'une bande du réseau Curry croise le réseau Hartmann, le nœud ainsi formé est une zône d'énergie négative. Bien entendu, tous ces réseaux peuvent être déformés par des accidents géologiques et peuvent donc se présenter de la façon suivante : ![]() Le champ magnétique terrestre correspond à un champ magnétique qui pourrait être produit par un dipôle magnétique sans doute présent au centre de la Terre, formant un axe de 11° par rapport à l'axe de rotation de la planète. Ce champ magnétique principal est complété par un autre, plus faible et non dipolaire. L'essentiel du champ magnétique terrestre est dû aux mouvements de fluides dans le noyau externe de la Terre. Intensité du champ magnétique terrestre Le champ magnétique terrestre varie au cours du temps. Actuellement, son intensité décroît ; à la surface de la Terre, celle-ci est comprise entre 33.000 et 70.000 nT (nanotesla). D'après une étude du CNRS datant de 2014, il perdrait environ 5 % de son intensité par siècle. Inversions du champ magnétique terrestre Au cours de l'histoire de la Terre, il y a eu plusieurs inversions du champ magnétique terrestre, lesquelles ont été étudiées grâce au paléomagnétisme (science qui étudie les enregistrements du champ magnétique passé de la Terre). Enfin, le nord magnétique n'est pas fixe et se déplace régulièrement. Le champ magnétique de la Terre est engendré par un effet dynamo, c'est-à-dire par les mouvements d'un fluide conducteur de l'électricité. Ce phénomène aligne les aiguilles des boussoles, mais il nous protège aussi des effets nuisibles des rayons cosmiques et des particules solaires, qui rendraient toute vie impossible sur Terre en son absence. |
↑↑↑↑↑ |